Lorsqu’on décide de réduire sa consommation d’alcool, on pense souvent que tout va s’améliorer rapidement. Que ça va être facile.
Pourtant, ce n’est pas toujours aussi simple. Derrière chaque verre d’alcool consommé, il peut y avoir un traumatisme enfoui, un stress chronique ou des émotions non résolues. Si bien que l’arrêt ou la réduction de l’alcool peut réveiller des sensations inattendues.
D'ailleurs, le "Dry January" est pour certain l'occasion de mettre en évidence cette relation complexe avec l'alcool.
Dans cet article, nous allons explorer les liens entre le stress, le traumatisme et la consommation d’alcool, et comprendre pourquoi certaines personnes rencontrent des difficultés insoupçonnées lorsqu’elles tentent de maîtriser leur consommation.
L’alcool agit comme un anxiolytique naturel. En raison de son effet relaxant, il apaise temporairement le stress et anesthésie les émotions négatives. Certaines personnes qui ont vécu un traumatisme se tournent inconsciemment vers l’alcool pour se soulager, mais c'est un apaisement illusoire.
C'est la rencontre d'un produit, dans un moment de vie, qui devient une habitude.
Cette solution est éphémère et masque les véritables sources du mal-être. À long terme, cela crée une dépendance émotionnelle et physique, rendant l’arrêt d’autant plus difficile.
Lorsque l’on arrête ou réduit une consommation importante d’alcool, des signes physiques peuvent être attendus. Mais, des symptômes émotionnels et physiques peuvent émerger même lors de l'arrêt d'une consommation moins importante.
Ces réactions sont l'occasion de prendre conscience de ce qui se cachait derrière la consommation: gestion du stress, "anesthésie" de traumatismes.
L’alcool agit sur le système nerveux central. Lorsqu'on arrête d'en consommer, le stress peut devenir plus intense car le cerveau n’a plus son “anxiolytique” habituel.
Beaucoup constatent une instabilité émotionnelle après l’arrêt de l’alcool. Cela s’explique par une régulation perturbée, si bien que l’irritabilité et l’anxiété deviennent plus marquées.
Les personnes ayant vécu un traumatisme peuvent voir remonter des souvenirs douloureux, car l’alcool ne les dissimule plus. Ces émotions doivent être traitées de manière adéquate pour éviter les rechutes.
Il est fréquent de remplacer l’alcool par d’autres addictions : nourriture, tabac, sport excessif... Ce transfert est souvent un moyen inconscient de gérer l’absence de l’alcool.
Sans l’alcool, on se retrouve face à soi-même. Cela peut être angoissant, car on doit apprendre à gérer ses émotions sans échappatoire artificiel.
Certaines personnes ont recours à l’alcool non pas par simple plaisir, mais pour apaiser un traumatisme. Que ce soit un événement marquant de l’enfance, un accident, une perte ou des violences, l’alcool devient un moyen de survivre psychologiquement.
Cependant, tant que le traumatisme n’est pas traité en profondeur, la consommation d’alcool est une solution fragile et dangereuse. Le stress post-traumatique (PTSD) peut être lié à une consommation régulière d’alcool.
Réduire ou arrêter l’alcool ne suffit pas toujours à retrouver une stabilité émotionnelle. C'est se priver courageusement de ce qui à été une solution. Il est essentiel de traiter également les causes sous-jacentes.
Suivant votre consommation initiale, votre médecin peut vous prescrire un bilan et de quoi compenser d'éventuelles carences.
Travailler avec un thérapeute permet de comprendre et traiter les causes profondes du stress et des traumatismes. L’EMDR, l'approche centrée solution et l’hypnose sont des solutions efficaces. Ces techniques, utilisées séparément peuvent avoir un effet intéressant. Mais, utilisées ensemble, ces approchent sont complémentaires et deviennent très efficaces.
La méditation, la cohérence cardiaque peuvent aider à réduire le stress de manière naturelle, si bien que l’envie de consommer diminue progressivement. Ces techniques peuvent constituer un premier pas, qui peut suffire.
Le sport libère des endorphines qui réduisent l’anxiété. Il devient un excellent moyen de remplacer l’alcool par une solution saine. Mais cette solution ne convient pas à tous: incapacité physique, manque l'intérêt pour le sport, limite organisationnelle...
Réduire l’alcool est plus facile lorsque l’on remplace ses habitudes par de nouvelles. Les périodes de transition: déménagement, changement professionnel ou personnel sont des occasions pour installer de nouvelles habitudes.
L'accompagnement par le coaching est tout à fait approprié pour développer ces changements. C'est un espace de questionnement orienté vers l'action. En interrogeant notamment vos valeurs et vos besoins, vous installez de nouveaux comportements.
❌ Ne pas consommer plus de dix verres standard par semaine
❌ Ne pas consommer plus de deux verres par jour
👉🏼 Avoir des jours sans consommation dans une semaine
👉🏼 Maximum deux verres par jour et pas tous les jours
L’alcool n’est qu’une solution temporaire face au stress et aux traumatismes. Et elle peut dangereusement s'installer.
Lorsque l’on tente de réduire sa consommation, les véritables émotions et blessures refont surface. Et il est essentiel de les traiter.
Ce processus est nécessaire pour une véritable guérison. En adoptant une approche intégrative, en travaillant sur ses émotions et en mettant en place des stratégies adaptées, il est possible de se libérer du stress et du traumatisme sans dépendre de l’alcool.
Plus d'information : alcool-info-service
Lorsqu’on décide de réduire sa consommation d’alcool, on pense souvent que tout va s’améliorer rapidement. Que ça va être facile.
Pourtant, ce n’est pas toujours aussi simple. Derrière chaque verre d’alcool consommé, il peut y avoir un traumatisme enfoui, un stress chronique ou des émotions non résolues. Si bien que l’arrêt ou la réduction de l’alcool peut réveiller des sensations inattendues.
D'ailleurs, le "Dry January" est pour certain l'occasion de mettre en évidence cette relation complexe avec l'alcool.
Dans cet article, nous allons explorer les liens entre le stress, le traumatisme et la consommation d’alcool, et comprendre pourquoi certaines personnes rencontrent des difficultés insoupçonnées lorsqu’elles tentent de maîtriser leur consommation.
L’alcool agit comme un anxiolytique naturel. En raison de son effet relaxant, il apaise temporairement le stress et anesthésie les émotions négatives. Certaines personnes qui ont vécu un traumatisme se tournent inconsciemment vers l’alcool pour se soulager, mais c'est un apaisement illusoire.
C'est la rencontre d'un produit, dans un moment de vie, qui devient une habitude.
Cette solution est éphémère et masque les véritables sources du mal-être. À long terme, cela crée une dépendance émotionnelle et physique, rendant l’arrêt d’autant plus difficile.
Lorsque l’on arrête ou réduit une consommation importante d’alcool, des signes physiques peuvent être attendus. Mais, des symptômes émotionnels et physiques peuvent émerger même lors de l'arrêt d'une consommation moins importante.
Ces réactions sont l'occasion de prendre conscience de ce qui se cachait derrière la consommation: gestion du stress, "anesthésie" de traumatismes.
L’alcool agit sur le système nerveux central. Lorsqu'on arrête d'en consommer, le stress peut devenir plus intense car le cerveau n’a plus son “anxiolytique” habituel.
Beaucoup constatent une instabilité émotionnelle après l’arrêt de l’alcool. Cela s’explique par une régulation perturbée, si bien que l’irritabilité et l’anxiété deviennent plus marquées.
Les personnes ayant vécu un traumatisme peuvent voir remonter des souvenirs douloureux, car l’alcool ne les dissimule plus. Ces émotions doivent être traitées de manière adéquate pour éviter les rechutes.
Il est fréquent de remplacer l’alcool par d’autres addictions : nourriture, tabac, sport excessif... Ce transfert est souvent un moyen inconscient de gérer l’absence de l’alcool.
Sans l’alcool, on se retrouve face à soi-même. Cela peut être angoissant, car on doit apprendre à gérer ses émotions sans échappatoire artificiel.
Certaines personnes ont recours à l’alcool non pas par simple plaisir, mais pour apaiser un traumatisme. Que ce soit un événement marquant de l’enfance, un accident, une perte ou des violences, l’alcool devient un moyen de survivre psychologiquement.
Cependant, tant que le traumatisme n’est pas traité en profondeur, la consommation d’alcool est une solution fragile et dangereuse. Le stress post-traumatique (PTSD) peut être lié à une consommation régulière d’alcool.
Réduire ou arrêter l’alcool ne suffit pas toujours à retrouver une stabilité émotionnelle. C'est se priver courageusement de ce qui à été une solution. Il est essentiel de traiter également les causes sous-jacentes.
Suivant votre consommation initiale, votre médecin peut vous prescrire un bilan et de quoi compenser d'éventuelles carences.
Travailler avec un thérapeute permet de comprendre et traiter les causes profondes du stress et des traumatismes. L’EMDR, l'approche centrée solution et l’hypnose sont des solutions efficaces. Ces techniques, utilisées séparément peuvent avoir un effet intéressant. Mais, utilisées ensemble, ces approchent sont complémentaires et deviennent très efficaces.
La méditation, la cohérence cardiaque peuvent aider à réduire le stress de manière naturelle, si bien que l’envie de consommer diminue progressivement. Ces techniques peuvent constituer un premier pas, qui peut suffire.
Le sport libère des endorphines qui réduisent l’anxiété. Il devient un excellent moyen de remplacer l’alcool par une solution saine. Mais cette solution ne convient pas à tous: incapacité physique, manque l'intérêt pour le sport, limite organisationnelle...
Réduire l’alcool est plus facile lorsque l’on remplace ses habitudes par de nouvelles. Les périodes de transition: déménagement, changement professionnel ou personnel sont des occasions pour installer de nouvelles habitudes.
L'accompagnement par le coaching est tout à fait approprié pour développer ces changements. C'est un espace de questionnement orienté vers l'action. En interrogeant notamment vos valeurs et vos besoins, vous installez de nouveaux comportements.
❌ Ne pas consommer plus de dix verres standard par semaine
❌ Ne pas consommer plus de deux verres par jour
👉🏼 Avoir des jours sans consommation dans une semaine
👉🏼 Maximum deux verres par jour et pas tous les jours
L’alcool n’est qu’une solution temporaire face au stress et aux traumatismes. Et elle peut dangereusement s'installer.
Lorsque l’on tente de réduire sa consommation, les véritables émotions et blessures refont surface. Et il est essentiel de les traiter.
Ce processus est nécessaire pour une véritable guérison. En adoptant une approche intégrative, en travaillant sur ses émotions et en mettant en place des stratégies adaptées, il est possible de se libérer du stress et du traumatisme sans dépendre de l’alcool.
Plus d'information : alcool-info-service
Lorsqu’on décide de réduire sa consommation d’alcool, on pense souvent que tout va s’améliorer rapidement. Que ça va être facile.
Pourtant, ce n’est pas toujours aussi simple. Derrière chaque verre d’alcool consommé, il peut y avoir un traumatisme enfoui, un stress chronique ou des émotions non résolues. Si bien que l’arrêt ou la réduction de l’alcool peut réveiller des sensations inattendues.
D'ailleurs, le "Dry January" est pour certain l'occasion de mettre en évidence cette relation complexe avec l'alcool.
Dans cet article, nous allons explorer les liens entre le stress, le traumatisme et la consommation d’alcool, et comprendre pourquoi certaines personnes rencontrent des difficultés insoupçonnées lorsqu’elles tentent de maîtriser leur consommation.
L’alcool agit comme un anxiolytique naturel. En raison de son effet relaxant, il apaise temporairement le stress et anesthésie les émotions négatives. Certaines personnes qui ont vécu un traumatisme se tournent inconsciemment vers l’alcool pour se soulager, mais c'est un apaisement illusoire.
C'est la rencontre d'un produit, dans un moment de vie, qui devient une habitude.
Cette solution est éphémère et masque les véritables sources du mal-être. À long terme, cela crée une dépendance émotionnelle et physique, rendant l’arrêt d’autant plus difficile.
Lorsque l’on arrête ou réduit une consommation importante d’alcool, des signes physiques peuvent être attendus. Mais, des symptômes émotionnels et physiques peuvent émerger même lors de l'arrêt d'une consommation moins importante.
Ces réactions sont l'occasion de prendre conscience de ce qui se cachait derrière la consommation: gestion du stress, "anesthésie" de traumatismes.
L’alcool agit sur le système nerveux central. Lorsqu'on arrête d'en consommer, le stress peut devenir plus intense car le cerveau n’a plus son “anxiolytique” habituel.
Beaucoup constatent une instabilité émotionnelle après l’arrêt de l’alcool. Cela s’explique par une régulation perturbée, si bien que l’irritabilité et l’anxiété deviennent plus marquées.
Les personnes ayant vécu un traumatisme peuvent voir remonter des souvenirs douloureux, car l’alcool ne les dissimule plus. Ces émotions doivent être traitées de manière adéquate pour éviter les rechutes.
Il est fréquent de remplacer l’alcool par d’autres addictions : nourriture, tabac, sport excessif... Ce transfert est souvent un moyen inconscient de gérer l’absence de l’alcool.
Sans l’alcool, on se retrouve face à soi-même. Cela peut être angoissant, car on doit apprendre à gérer ses émotions sans échappatoire artificiel.
Certaines personnes ont recours à l’alcool non pas par simple plaisir, mais pour apaiser un traumatisme. Que ce soit un événement marquant de l’enfance, un accident, une perte ou des violences, l’alcool devient un moyen de survivre psychologiquement.
Cependant, tant que le traumatisme n’est pas traité en profondeur, la consommation d’alcool est une solution fragile et dangereuse. Le stress post-traumatique (PTSD) peut être lié à une consommation régulière d’alcool.
Réduire ou arrêter l’alcool ne suffit pas toujours à retrouver une stabilité émotionnelle. C'est se priver courageusement de ce qui à été une solution. Il est essentiel de traiter également les causes sous-jacentes.
Suivant votre consommation initiale, votre médecin peut vous prescrire un bilan et de quoi compenser d'éventuelles carences.
Travailler avec un thérapeute permet de comprendre et traiter les causes profondes du stress et des traumatismes. L’EMDR, l'approche centrée solution et l’hypnose sont des solutions efficaces. Ces techniques, utilisées séparément peuvent avoir un effet intéressant. Mais, utilisées ensemble, ces approchent sont complémentaires et deviennent très efficaces.
La méditation, la cohérence cardiaque peuvent aider à réduire le stress de manière naturelle, si bien que l’envie de consommer diminue progressivement. Ces techniques peuvent constituer un premier pas, qui peut suffire.
Le sport libère des endorphines qui réduisent l’anxiété. Il devient un excellent moyen de remplacer l’alcool par une solution saine. Mais cette solution ne convient pas à tous: incapacité physique, manque l'intérêt pour le sport, limite organisationnelle...
Réduire l’alcool est plus facile lorsque l’on remplace ses habitudes par de nouvelles. Les périodes de transition: déménagement, changement professionnel ou personnel sont des occasions pour installer de nouvelles habitudes.
L'accompagnement par le coaching est tout à fait approprié pour développer ces changements. C'est un espace de questionnement orienté vers l'action. En interrogeant notamment vos valeurs et vos besoins, vous installez de nouveaux comportements.
❌ Ne pas consommer plus de dix verres standard par semaine
❌ Ne pas consommer plus de deux verres par jour
👉🏼 Avoir des jours sans consommation dans une semaine
👉🏼 Maximum deux verres par jour et pas tous les jours
L’alcool n’est qu’une solution temporaire face au stress et aux traumatismes. Et elle peut dangereusement s'installer.
Lorsque l’on tente de réduire sa consommation, les véritables émotions et blessures refont surface. Et il est essentiel de les traiter.
Ce processus est nécessaire pour une véritable guérison. En adoptant une approche intégrative, en travaillant sur ses émotions et en mettant en place des stratégies adaptées, il est possible de se libérer du stress et du traumatisme sans dépendre de l’alcool.
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