Beaucoup de gens redoutent les transports, que ce soit l’avion, le train, le métro ou même la voiture. Cette peur n’est pas juste une petite angoisse passagère. En raison de son intensité, elle peut perturber toute une vie.
Elle amène des comportements d’évitements et de fuite qui finissent par donner encore plus de pouvoir a cette peur.
Elle empêche de partir en vacances, de voir ses proches, de passer le permis de conduire ou même d’aller travailler.
On parle d’une phobie spécifique quand la peur s'est fixée sur le transport ou d'agoraphobie quand elle s'étend sur d'autre domaines.
Un psycho-traumatisme peut être l'origine de ces troubles. Si bien que le stress devient constant rien qu’à l’idée d’un trajet, ou d'être enfermé dans un transport. Comprendre cette peur, c’est déjà commencer à l’apprivoiser.
Beaucoup de gens redoutent les transports, que ce soit l’avion, le train, le métro ou même la voiture.
Cette peur n’est pas juste une petite angoisse passagère. En raison de son intensité, elle peut perturber toute une vie.
Elle amène des comportements d’évitements et de fuite qui finissent par donner encore plus de pouvoir a cette peur.
Elle empêche de partir en vacances, de voir ses proches, de passer le permis de conduire ou même d’aller travailler.
On parle d’une phobie spécifique quand la peur s'est fixée sur le transport ou d'agoraphobie quand elle s'étend sur d'autre domaines.
Un psycho-traumatisme peut être l'origine de ces troubles. Si bien que le stress devient constant rien qu’à l’idée d’un trajet, ou d'être enfermé dans un transport. Comprendre cette peur, c’est déjà commencer à l’apprivoiser.
Chaque personne est différente, toutefois certaines causes reviennent souvent: un accident, une grande frayeur en transport ou une expérience d’être enfermé dans un petit espace clos. En raison d’un choc émotionnel passé, le cerveau associe le transport à un danger.
Parfois, aucun souvenir précis n’explique cette angoisse. Cela peut être le signe d’un psycho-traumatisme refoulé. Le corps a gardé en mémoire cette peur, même quand la conscience l’a classée quelque part. Le stress est alors déclenché automatiquement, sans raison apparente.
Et parfois aussi, une dimension métaphorique et/ou périphérique peut être présente dans la peur de conduire ou du voyage. Peur des responsabilités, du changement, de l’éloignement….
Chaque personne est différente, toutefois certaines causes reviennent souvent: un accident, une grande frayeur en transport ou une expérience d’être enfermée dans un petit espace clos.
En raison d’un choc émotionnel passé, le cerveau associe le transport à un danger.
Parfois, aucun souvenir précis n’explique cette angoisse. Cela peut être le signe d’un psycho-traumatisme refoulé.
Le corps a gardé en mémoire cette peur, même quand la conscience l’a classée quelque part. Le stress est alors déclenché automatiquement, sans raison apparente.
Et parfois aussi, une dimension métaphorique et/ou périphérique peut être présente dans la peur de conduire ou du voyage. Peur des responsabilités, du changement, de l’éloignement….
Chaque personne est différente, toutefois certaines causes reviennent souvent: un accident, une grande frayeur en transport ou une expérience d’être enfermé dans un petit espace clos.
En raison d’un choc émotionnel passé, le cerveau associe le transport à un danger.
Parfois, aucun souvenir précis n’explique cette angoisse. Cela peut être le signe d’un psycho-traumatisme refoulé. Le corps a gardé en mémoire cette peur, même quand la conscience l’a classée quelque part. Le stress est alors déclenché automatiquement, sans raison apparente.
Et parfois aussi, une dimension métaphorique et/ou périphérique peut être présente dans la peur de conduire ou du voyage. Peur des responsabilités, du changement, de l’éloignement….
Le stress lié aux transports se manifeste de façon physique : cœur qui s’accélère, nausées, vertiges, sueurs jusqu’aux troubles de la conscience. Il peut aussi prendre une forme plus sournoise : irritabilité, fatigue, troubles du sommeil. En raison de cette réaction automatique, la personne évite de plus en plus les trajets.
Cette stratégie d’évitement soulage sur le moment, toutefois elle aggrave le problème sur le long terme. Plus on évite, plus la peur a de pouvoir et s’installe profondément. Le cerveau comprend que fuir apaise, si bien qu’il répète ce mécanisme à chaque situation similaire. Un mécanisme de fuite qui entretien la peur et installe la croyance qu'elle est insurmontable.
Le stress lié aux transports se manifeste de façon physique : cœur qui s’accélère, nausées, vertiges, sueurs jusqu’aux troubles de la conscience.
Il peut aussi prendre une forme plus sournoise : irritabilité, fatigue, troubles du sommeil.
En raison de cette réaction automatique, la personne évite de plus en plus les trajets.
Cette stratégie d’évitement soulage sur le moment, toutefois elle aggrave le problème sur le long terme. Plus on évite, plus la peur a de pouvoir et s’installe profondément. Le cerveau comprend que fuir apaise, si bien qu’il répète ce mécanisme à chaque situation similaire. Un mécanisme de fuite qui entretien la peur et installe la croyance qu'elle est insurmontable.
La peur des transports isole, car elle limite les déplacements. Elle empêche certaines activités sociales, professionnelles ou familiales. En raison de cette restriction, un cercle vicieux s’installe : la solitude renforce l’angoisse, et inversement.
Certaines personnes changent de métier, refusent des opportunités professionnelles ou personnelles, voire déménagent pour éviter de prendre les transports. La qualité de vie diminue, si bien que la peur prend le contrôle sur les choix de vie.
Les personnes perdent leur liberté.
Le psycho-traumatisme joue un rôle central. Même si l'événement déclencheur remonte à l'enfance, il peut encore influencer le présent. En raison d’une mémoire émotionnelle figée, le corps réagit comme si le danger était encore réel.
Par exemple, une personne ayant vécu un accident de voiture peut paniquer rien qu’à l’idée de monter dans un taxi. Le cerveau ne fait pas la différence entre le souvenir et le présent, si bien que la peur reste active sans relâche.
Le psycho-traumatisme joue un rôle central. Même si l'événement déclencheur remonte à l'enfance, il peut encore influencer le présent. En raison d’une mémoire émotionnelle figée, le corps réagit comme si le danger était encore réel.
Input your text in this area
Les thérapies verbales peuvent être utiles, toutefois elles n’accèdent pas toujours à la racine du problème. Car le psycho-traumatisme est souvent enfoui dans les couches profondes du cerveau émotionnel. Il peut échapper au raisonnement logique.
C’est pourquoi il est parfois nécessaire d’utiliser des approches plus ciblées, qui travaillent directement sur la mémoire traumatique. Deux outils se démarquent particulièrement : l’hypnose et l’EMDR - IMO.
Elle permet d’entrer dans un état de conscience spécifique, naturel et sécurisant. Dans cet état, la personne reste consciente, elle ne dort pas, elle peut parler ou bouger. Toutefois, elle est dans une concentration singulière qui lui permet d’installer et de développer des changements. Il en va de sa responsabilité, de son engagement dans cet espace de travail.
La séance peut, par exemple, consister à se confronter au moyen de transport. C'est une forme de thérapie d'exposition.
Grâce à des suggestions précises, l’hypnose permet de modifier les associations négatives liées aux transports. En raison de cette re-programmation, le cerveau peut créer de nouveaux réflexes apaisants. Petit à petit, le stress diminue.
Cette méthode est particulièrement efficace chez les personnes très réactives au stress, car elle agit directement sur les émotions profondes. L’hypnose permet également de renforcer la confiance en soi et d’installer une sensation de sécurité intérieure.
L’EMDR - IMO est une méthode validée scientifiquement, utilisée dans le traitement des psycho-traumatismes. Elle repose sur des mouvements oculaires guidés, qui stimulent le cerveau pour traiter les souvenirs bloqués.
En séance, la personne revit brièvement l’événement perturbant, tout en suivant des stimulations bilatérales. Cela permet au cerveau de « digérer » le souvenir et de le reclasser dans le passé. En raison de ce traitement, le stress associé diminue, parfois de façon spectaculaire.
L’EMDR - IMO est particulièrement recommandé lorsque la peur des transports provient d’un événement précis, même ancien. Toutefois, elle fonctionne aussi sur des peurs diffuses, en accédant à la mémoire émotionnelle.
Utiliser à la fois l’hypnose et l’EMDR - IMO permet d’agir sur différents plans : conscient, inconscient, émotionnel et corporel. En raison de cette approche globale, les résultats sont souvent rapides et durables.
Certaines personnes constatent un apaisement dès la première séance. D’autres ont besoin de quelques rendez-vous supplémentaires. L’important est d’y aller à son rythme, car chaque histoire est unique.
En parallèle, il est utile d’adopter des routines de relaxation pour réduire le stress au quotidien. La cohérence cardiaque, la méditation ou le yoga sont d’excellents compléments thérapeutiques
Se libérer de la peur des transports, c’est possible. Cela demande du courage, de la patience, mais surtout un accompagnement adapté. Car il ne s’agit pas de se forcer, mais de reconstruire une sécurité intérieure.
Reprendre le contrôle sur ses déplacements, c’est retrouver sa liberté. C’est pouvoir voyager, dire oui à des opportunités, voir ses proches sans peur. C’est retrouver sa vie, tout simplement.
Se libérer de la peur des transports, c’est possible. Cela demande du courage, de la patience, mais surtout un accompagnement adapté. Car il ne s’agit pas de se forcer, mais de reconstruire une sécurité intérieure.
Reprendre le contrôle sur ses déplacements, c’est retrouver sa liberté. C’est pouvoir voyager, dire oui à des opportunités, voir ses proches sans peur. C’est retrouver sa vie, tout simplement.
La peur des transports nous parle de nos blessures profondes. Elle révèle un stress plus ou moins ancien, parfois un psycho-traumatisme non traité. Toutefois, ce n’est pas une fatalité.
Grâce à des outils comme l’hypnose et l’EMDR - IMO, il est possible de s’en libérer durablement. En raison de leur efficacité ciblée, ces approches associées offrent une vraie chance de guérison.
Ne plus subir, ne plus fuir et se sentir libre. Avancer, sereinement, et reprendre confiance en la vie. Voilà ce que permet un accompagnement bienveillant et adapté.
Pourquoi l’approche intégrative est efficace pour gérer le stress ?
Témoignage EMDR et phobie des transports : https://www.ifemdr.fr/temoigne-dambre-qui-a-vaincu-sa-phobie-des-transports-avec-lemdr/
Phobie spécifique : https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-mentaux/anxi%C3%A9t%C3%A9-et-troubles-li%C3%A9s-au-stress/phobies-sp%C3%A9cifiques
Agoraphobie : https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-mentaux/anxi%C3%A9t%C3%A9-et-troubles-li%C3%A9s-au-stress/agoraphobie
Le cercle vicieux de l'anxiété : https://www.uottawa.ca/campus-life/sites/g/files/bhrskd281/files/2021-08/le_cercle_vicieux_de_lanxiete_fr.pdf
INSERM : L’EMDR pour traiter le stress post-traumatique, vraiment ?
La peur des transports nous parle de nos blessures profondes. Elle révèle un stress plus ou moins ancien, parfois un psycho-traumatisme non traité. Toutefois, ce n’est pas une fatalité.
Grâce à des outils comme l’hypnose et l’EMDR - IMO, il est possible de s’en libérer durablement. En raison de leur efficacité ciblée, ces approches offrent une vraie chance de guérison.
Ne plus subir, ne plus fuir et se sentir libre. Avancer, sereinement, et reprendre confiance en la vie. Voilà ce que permet un accompagnement bienveillant et adapté.